Jannik Sinner: Préparation, Personnalité et Ambitions

Jannik Sinner: Préparation, Personnalité et Ambitions
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mercredi 17 avril 2024, 14:21

Jannik Sinner travaille en vue de Madrid, mais surtout pour être prêt pour les Internationaux de Rome, tremplin pour Roland-Garros. Le tennisman sud-tyrolien a parlé de lui-même et il s'est avéré qu'il pourrait avoir un défaut : «Je ne lave pas les plats quand je finis de manger, je les laisse là et je m'en occupe deux jours plus tard».

L'azzurro s'est raconté, entrant davantage dans les aspects de la vie en dehors du terrain : «Sur moi, peut-être, on est allé un peu trop loin. À mes yeux, je fais des choses normales : tu vois quelqu'un qui ne va pas bien, tu l'aides ; tu rencontres un enfant, il y a un ballon, tu fais quelques lancers. Je n'y pense même pas. C'est ma façon de vivre. Sur le terrain, je suis sérieux, je fais mes rituels, mais après le match, j'aime plaisanter. Je suis comme ça, j'ai toujours été comme ça. La différence, c'est que maintenant, j'ai plus de caméras sur moi, plus d'attention. Et tout est amplifié. Mais ne exagérons pas, allons...

Son défaut dans le jeu

«Moi aussi, je m'énerve, comme il se doit. Dans la vie, il faut comprendre les moments, il y a un moment pour plaisanter et un moment pour s'énerver. Défaut dans le tennis ? Parfois, je suis trop pressé, je veux tout apprendre tout de suite. J'ai compris que quand je suis pressé, je perds en lucidité et cela, au lieu de m'aider, me piège».

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La saison sur terre battue

Saison sur terre battue : «Maintenant, tout change : une période complexe, mais aussi intéressante m'attend. Ce n'est pas la surface où je suis le plus à l'aise». Il ajoute ensuite : «À Indian Wells, j'ai invité mon meilleur ami : il a vu que, je gagne ou je perds, je suis toujours le garçon connu à l'école».

Sinner et les Jeux Olympiques

«Ma mère continue de ne pas regarder les matchs parce qu'elle s'agite, et si je l'appelle, souvent elle ne répond pas parce qu'elle a à faire. Gagner a un poids, mais le plus important, ce sont les affections». Puis sur les Jeux Olympiques de Paris : «Le drapeau doit être porté par celui qui vit pour les Jeux et base sa carrière sur les Olympiades. Puis si ils veulent me le donner, je suis heureux mais en tant que tennisman, j'ai les quatre Grands Chelems, les neuf Masters 1000, la Coupe Davis... Pour moi, l'Olympiade est un tournoi de plus. Pour d'autres, c'est le tournoi. J'ai lu une interview d'Usain Bolt où il disait : je m'entraîne quatre ans pour courir cent mètres en neuf secondes. Cela m'a marqué».

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