«Je suis bouleversé par la tragédie de la centrale hydroélectrique du lac de Suviana. C'est une tragédie indescriptible, une blessure qui me cause une grande souffrance - fait savoir le poète et chanteur - Je suis proche des familles des victimes à qui j'exprime mes condoléances. Mourir sur son lieu de travail est inacceptable». Ainsi, ce lieu magique, choisi aussi pour présenter son avant-dernier travail parmi les pentes du Parc des eaux, cette unique mer pour ceux qui vivent à cheval sur les Apennins toscans et émiliens, est assombri par la disgrâce de ceux qui meurent juste pour travailler. L'explosion, la fumée, la mort, les recherches désespérées des pompiers contrastent avec cette page des Croniche où Suviana, malgré «la vase, l'odeur de pourri» et même la charogne d'un porc putréfié «en bas de la pente avant le barrage» ou «un chat mort dans un morceau de tuyau», rend même la magie de celui qui s'invente une mer toute à lui. Une mer avec «des petits cailloux et des morceaux de verre polis par la vague» et même des coquillages. Pourris ceux-là aussi malgré leur blancheur. Pourris comme l'eau claire de Suviana, maintenant meurtrière.
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