Il confirme qu'il est le meilleur milieu de terrain de la Serie A en termes de chiffres et de performances, mais aujourd'hui, il commence également à être un joueur de premier plan en Europe. L'un des leaders de l'Inter, Hakan Calhanoglu a accordé une interview à DAZN soulignant sa croissance et sa confiance en ses moyens : «J'ai dit il y a des mois que je suis l'un des meilleurs régisseurs du monde, personne ne m'a cru mais je crois toujours en moi parce que je suis convaincu de mes qualités et je n'ai peur de personne».
Les déclarations de Calhanoglu
Aujourd'hui, il se sent le meilleur en tant que régisseur. Calha a fait son classement personnel des 5 meilleurs régisseurs du monde : «Toni Kroos je le mets troisième en ce moment, Enzo Fernandez à la cinquième place, Kimmich à la quatrième, Rodri à la deuxième place, je me mets à la première place. Je me sens le meilleur parce que les buts que je marque surtout de l'extérieur de la surface sont difficilement marqués par les autres».
La phase d'interdiction et les pénalités
Calhanoglu est devenu impeccable aussi en phase d'interdiction : «J'aime faire des glissades en prenant le ballon. Une caractéristique qui est ressortie parce que j'aime courir et travailler. Je m'amuse aussi à récupérer des ballons. Des pénalités ? C'est un secret».
Nouveau rôle et relation avec Inzaghi
«Première fois en tant que régisseur ? Au Milan, je n'étais pas prêt à le faire, quand cela s'est produit ici à l'Inter, j'étais prêt et j'ai dit oui tout de suite au coach. Je voulais relever ce défi et ce changement de rôle a été très important dans mon parcours. Sur sa relation avec son entraîneur : «Inzaghi m'a amené ici, il m'a appelé plusieurs fois pour venir ici et je le remercierai toujours. Il a vu en moi ce nouveau rôle, donc je ne peux que parler bien de lui.
Pirlo idole de Calhanoglu
«Veron a été un grand joueur, j'aimais sa méchanceté et ses pieds. Busquets grand joueur mais honnêtement d'autres me plaisent plus que lui; très fort techniquement mais pour moi il a toujours été lent. Modric est incroyable, je le connais très bien et il est un exemple pour tout ce qu'il arrive encore à faire et pour ce qu'il a gagné. De lui, on peut prendre la mentalité, le professionnalisme et la bonté. Xabi Alonso j'ai toujours aimé son passage coupé, similaire à celui que j'ai fait avec la Juventus. Pirlo est mon idole, je le connais bien. Il était calme quand il jouait, il ne ressentait pas le stress, numéro un».
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