Al Pacino et le soutien financier à son ex-épouse Noor Alfallah

Al Pacino et le soutien financier à son ex-épouse Noor Alfallah
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lundi 18 mars 2024, 09:22 - Dernière mise à jour: 11:54

Un chèque de 30 mille dollars par mois. C'est ce que devra verser Al Pacino à son ex-femme Noor Alfallah pour le soutien de leurs enfants. C'est ce qu'a décidé le tribunal de Los Angeles, selon les documents obtenus par Page Six. En septembre dernier, le couple avait annoncé son divorce quelques mois après la naissance du petit Roman Pacino, quatrième enfant de l'acteur hollywoodien, âgé de 83 ans.

Le soutien des enfants

Initialement, après la décision de se séparer, Noor Alfallah avait demandé la garde exclusive de son fils Roman Pacino, né il y a seulement quelques mois. Désormais, Page Six, ayant accès aux documents déposés auprès du tribunal de Los Angeles, révèle que le célèbre acteur doit payer à son ancienne compagne une somme d'argent de plus de 30 mille dollars pour le soutien des enfants. Non seulement cela, Pacino devra également donner à la jeune femme de 29 ans 110 mille dollars à l'avance, plus 13 mille pour une infirmière de nuit, un dépôt annuel de 15 mille dans un fonds pour l'éducation de son plus jeune fils. Enfin, il devra prendre en charge les éventuelles dépenses médicales au-delà de la couverture d'assurance santé. En ce qui concerne la garde des enfants, le juge a décidé que Alfallah et Pacino l'auraient conjointement d'un point de vue légal.

La naissance du quatrième enfant

En juin dernier, Al Pacino est devenu père pour la quatrième fois d'un garçon, Roman Pacino, eu avec sa compagne Noor Alfallah. La nouvelle mère a 29 ans, est l'ex-petite amie de Mick Jagger et a commencé à fréquenter la star d'Hollywood en avril 2022. La star, après l'annonce de la grossesse de sa partenaire, a fait un test de paternité pour s'assurer que l'enfant était le sien. Le résultat fut positif et le laissa plutôt secoué. Après quelques mois, les deux ont annoncé leur décision de se séparer et Alfallah a demandé la garde exclusive de l'enfant, laissant à Al Pacino la possibilité de "visites organisées de manière raisonnable". Cependant, le tribunal de Los Angeles a délibéré différemment.

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