Suspension demandée pour la réorganisation des établissements scolaires à Rome

Scuola: Angelucci (Pd Roma), su dimensionamento scolastico Rocca faccia passo indietro
«Aujourd'hui, la motion sur la réorganisation scolaire a été votée en assemblée à Rome pour demander la suspension de la mesure adoptée par la Région Latium, qui prévoit...

Continua a leggere con la nostra Promo Flash:

X
Scade il 29/05
ANNUALE
11,99 €
79,99€
Per 1 anno
SCEGLI
MENSILE
1,00 €
6,99€
Per 6 mesi
SCEGLI
2 ANNI
29 €
159,98€
Per 2 anni
SCEGLI

VANTAGGI INCLUSI

  • Tutti gli articoli del sito, anche da app
  • Approfondimenti e newsletter esclusive
  • I podcast delle nostre firme

- oppure -

Sottoscrivi l'abbonamento pagando con Google

OFFERTA SPECIALE

OFFERTA SPECIALE
MENSILE
6,99€
1€ AL MESE
Per 6 mesi
SCEGLI ORA
ANNUALE
79,99€
11,99€
Per 1 anno
SCEGLI ORA
2 ANNI
159,98€
29€
Per 2 anni
SCEGLI ORA
OFFERTA SPECIALE

Tutto il sito - Mese

6,99€ 1 € al mese x 12 mesi

Poi solo 4,99€ invece di 6,99€/mese

oppure
1€ al mese per 6 mesi

Tutto il sito - Anno

79,99€ 9,99 € per 1 anno

Poi solo 49,99€ invece di 79,99€/anno
«Aujourd'hui, la motion sur la réorganisation scolaire a été votée en assemblée à Rome pour demander la suspension de la mesure adoptée par la Région Latium, qui prévoit la fusion et la suppression de certains établissements scolaires de Rome et de sa province. Il s'agit d'un choix erroné qui ne prend pas en compte les spécificités des territoires, avec des conséquences négatives et des répercussions sur l'activité éducative, ainsi que de graves désagréments pour le personnel scolaire et les familles romaines» expliquent du Pd. «Nous demandons au président Rocca de revenir sur un acte qui met en danger l'éducation et l'avenir de nos enfants». La semaine dernière, en tant que maire de la ville métropolitaine, Gualtieri a déjà envoyé une communication officielle à la Région Latium pour demander la suspension de toute initiative sur le thème de la réorganisation scolaire. «Il est honteux - soulignent les démocrates - de penser à faire une revue des dépenses sur l'éducation, au détriment des jeunes, des familles et des enseignants. C'est pourquoi nous continuerons à soutenir par tous les moyens la protestation généralisée de la part des présidents de la municipalité, des maires des communes métropolitaines, des syndicats et des représentants des communautés éducatives».
Lire l'article complet sur
Il Messaggero