Réflexions sur les confessions des enfants et les risques d'abus sexuels dans l'Église catholique

«Basta confessare i bambini della prima comunione, evitare rischio di possibili abusi sessuali», lo studio della diocesi di Friburgo
Même les confessions des enfants ne sont pas exemptes du risque d'abus sexuels potentiels car dans le confessionnal, des comportements manipulatoires ou des liens ambigus...

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Même les confessions des enfants ne sont pas exemptes du risque d'abus sexuels potentiels car dans le confessionnal, des comportements manipulatoires ou des liens ambigus pourraient s'insinuer. C'est une réflexion choquante qui se fait jour dans les communautés catholiques allemandes au point que dans le diocèse de Fribourg, en Allemagne, une commission chargée de s'occuper des abus a mis en évidence le problème, demandant de mettre de côté les confessions des plus petits, et de les reporter à un âge plus adulte. Selon l'agence catholique KNA, l'étude du diocèse a montré que l'administration de ce sacrement aux enfants de la première communion pourrait être un «point d'initiation aux abus sexuels», par conséquent la recommandation de la commission est de l'abandonner. Une mesure de prudence. En raison de la relation étroite entre l'enfant et le prêtre, la situation qui se crée pourrait «ouvrir la possibilité d'un comportement manipulatoire envers les enfants et les mineurs au point de violer leurs limites».

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Les experts ont demandé que les enfants de 7 et 8 ans ne soient plus invités à leur première confession. Beaucoup plus sensé, écrivent-ils, d'attendre qu'ils aient 15 ou 16 ans. Les motivations développées par les psychologues reposent sur le fait que les petits à cet âge ont difficilement déjà une vision consciente de la faute et du péché. L'archidiocèse de Fribourg a ainsi été appelé à prendre des mesures et, le cas échéant, à fournir de nouveaux règlements.

La confession ou sacrement de la pénitence, pour l'Église, a une énorme signification. Pendant la confession, les croyants révèlent leurs erreurs et expriment leur remords tandis que le prêtre absout le croyant de ses péchés au nom de Dieu. Le prêtre est ensuite lié au secret absolu par le sceau de la confession.

Pape François a souvent encouragé les prêtres à être indulgents, miséricordieux et à tout pardonner. «S'il vous plaît, frères, pardonnez tout, pardonnez toujours, sans trop fouiller dans les consciences; laissez les gens dire leurs choses et vous recevez cela comme Jésus, avec la caresse de votre regard, avec le silence de votre compréhension. S'il vous plaît, le sacrement de la confession n'est pas pour torturer, mais est pour donner la paix. Pardonnez tout, comme Dieu vous pardonnera tout. Tout, tout, tout».

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Il Messaggero