Libération de Francesca Maria Occhionero après huit mois de détention

Libération de Francesca Maria Occhionero après huit mois de détention
Francesca Maria Occhionero est libérée après huit mois de prison, accusée de cyberespionnage et ayant été jugée aux côtés de son frère Giulio, ingénieur nucléaire lié...

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Francesca Maria Occhionero est libérée après huit mois de prison, accusée de cyberespionnage et ayant été jugée aux côtés de son frère Giulio, ingénieur nucléaire lié à la Franc-maçonnerie. C'est ce qu'a décidé le juge unique du tribunal de Rome. Le magistrat a en revanche rejeté la demande présentée par Giulio Occhionero, qui reste à Regina Coeli. Le tribunal a accepté la demande de l'avocat Roberto Bottachiari, défenseur de la femme. Pour l'accusée, il a été décidé l'obligation de signature. Selon le juge, au cours de l'instruction préliminaire, un «net réajustement» du rôle de Francesca Maria Occhionero dans l'affaire a émergé. Pour le frère, cependant, le cadre probatoire reste inchangé. Les Occhionero sont accusés de collecte de renseignements concernant la sécurité de l'État, d'accès abusif à un système informatique aggravé et d'interception illégale de communications informatiques et télématiques. Pour les enquêteurs, ils auraient volé des données sensibles et auraient tenté de violer les adresses e-mail de politiciens et d'institutions. Sur les ordinateurs de l'ingénieur, les agents de la police postale avaient récupéré des milliers de fichiers classés en fonction des rôles des victimes espionnées : de Matteo Renzi au président de la BCE Mario Draghi, jusqu'à l'ancien Premier ministre Mario Monti.
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Il Messaggero