Leonardo Maini Barbieri, le faux noble de Tik Tok démasqué par Le Iene

Leonardo Maini Barbieri, chi è il finto nobile di Tik Tok smascherato ieri a Le Iene: «Mi sono autoincoronato come ha fatto Napoleone»
Il s'appelle Leonardo Maini Barbieri, ou plutôt, Leonardo Glauco Teodorico Ascanio Guidobaldo Filiberto Angelo Maria Gustavo Amedeo Maini Barbieri, le "faux noble" de Tik Tok...

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Il s'appelle Leonardo Maini Barbieri, ou plutôt, Leonardo Glauco Teodorico Ascanio Guidobaldo Filiberto Angelo Maria Gustavo Amedeo Maini Barbieri, le "faux noble" de Tik Tok démasqué hier soir à "Le Iene". Devenu populaire sur les réseaux sociaux, ce jeune de 23 ans originaire de Carpi a prétendu pendant des années être ce qu'il n'était pas, menant une vie de luxe éloignée de sa véritable situation.

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La vérité

Une vie de luxe, faite de bijoux, de sacs de marque et de titres nobiliaires, celle de Leonardo Maini Barbieri. Une vie racontée sur les réseaux sociaux, surtout Tik Tok, où il a toujours montré sa richesse. Ou peut-être devrions-nous dire "fausse richesse". Pour le démasquer, hier soir, c'est l'expert de mode Giacomo Attanà, qui depuis longtemps avait mis en évidence toutes les incohérences sur le jeune homme de 23 ans. Grâce à "Le Iene", Attanà a réussi à faire avouer Leonardo Maini Barbieri, en lui posant quelques questions pendant qu'il se promenait dans les magasins.

Avant tout, sa véritable identité : «Je me suis auto-couronné comme l'a fait Napoléon. Mon père est-il noble ? Non, papa non. Mais les gens le savent», a déclaré Barbieri. À propos des bracelets de Cartier, le jeune homme de 23 ans a ensuite ajouté : «Sont-ils vrais ? Non, c'est de la bijouterie. Pourquoi ai-je tagué Cartier ? Dans ces photos, j'avais le magasin Cartier à côté de moi». À la demande de les voir en personne chez lui, il a immédiatement répondu : «Je ne sais pas si c'est possible, peut-être sont-ils à la banque». Puis, la question sur les vendeuses licenciées chez Hermes : «J'ai romancé l'événement. J'ai un peu exagéré la chose. Je n'ai fait licencier personne». Enfin, l'aveu : «Les gens ne me suivent pas parce que je porte des marques ou non ou parce que je suis ou non un noble. Les gens me suivent parce que je suis un personnage».

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Il Messaggero