Lecce-Verona, la fin de l'ère D'Aversa après un coup de tête controversé

Roberto D'Aversa esonerato dal Lecce dopo la testata a Henry. «Gesto contrario ai principi e ai valori dello sport»
«Après les événements survenus à la fin du match Lecce - Verona, l'U.S. Lecce annonce avoir démis de ses fonctions l'entraîneur Roberto D'Aversa. L'équipe et son staff...

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«Après les événements survenus à la fin du match Lecce - Verona, l'U.S. Lecce annonce avoir démis de ses fonctions l'entraîneur Roberto D'Aversa. L'équipe et son staff sont remerciés pour le travail accompli», écrit le club sur son site. 

 

Le coup de tête à Henry

Un dimanche à oublier qui a coûté sa place d'entraîneur de l'équipe salentine à Roberto D'Aversa. L'entraîneur de Lecce a joué un rôle négatif (de son propre aveu) dans le final brûlant du match de survie contre Vérone : la mauvaise page écrite avec un coup de tête (bien que l'entraîneur nie toute préméditation et parle d'un contact) donné à l'attaquant de Vérone, Henry, a été payée malgré les explications et les excuses présentées à la fin du match : une suspension maximale est également attendue de la part du juge sportif (l'arbitre Chiffi a vu l'incident et a expulsé l'entraîneur).

 

 

La position de Lecce

Le club a pris ses distances avec une note de réprobation, dans laquelle «il condamne fermement le geste de son entraîneur comme contraire aux principes et aux valeurs du sport». Les excuses adressées à tous, avec sa reconstruction de l'événement, n'ont pas suffi à sauver le poste de l'entraîneur, sifflé et contesté par les supporters salentins fatigués de la direction technique d'une équipe qui semble avoir entamé une dangereuse descente. Et la réaction injustifiée au coup de sifflet final du match contre Vérone, qui a dégénéré en un contact avec Henry, n'a vraiment pas plu.

 

Les excuses de l'entraîneur

D'Aversa a tenté de se disculper : «C'était une fin de match agitée - précise-t-il -, lorsque dans les dernières minutes du match, nous avons assisté à des provocations. Ce n'était pas un beau geste à voir, absolument pas prémédité, mais il était de mon intention de séparer les joueurs». Puis le mea culpa via les réseaux sociaux : «Il s'excuse auprès de tous, pour s'être laissé emporter par l'ardeur et avoir perdu sa lucidité. Je suis venu en contact tête à tête avec Henry - explique-t-il - mais je n'ai pas frappé le joueur de Vérone avec un coup de tête, ni lui à moi. C'était un mauvais exemple, une image antisportive née de la grande tension et de l'adrénaline qui cependant ne doivent pas et ne veulent pas être mes excuses ni mes atténuantes».

 

Les précédents

Dans le passé, d'autres entraîneurs se sont rendus coupables de gestes similaires : il y a vingt ans, l'entraîneur de Cesena de l'époque, Castori, a participé à la bagarre à la fin du match contre Lumezzane, en Serie C. Trois ans de suspension ont été infligés à Castori, puis réduits à deux. On se souvient aussi du coup de pied aux fesses que Silvio Baldini (sur le banc de Catane) a donné à Di Carlo (Parme), ou de l'agression en 2012 de Delio Rossi, alors à la tête de la Fiorentina, sur l'un de ses joueurs Adem Ljajic qui a coûté trois mois d'arrêt à l'entraîneur. En 2019 en C, l'entraîneur de Lucchese, Giancarlo Favarin, a donné un coup de tête à un adversaire et a été suspendu jusqu'à la fin de la saison. D'Aversa risque des mesures similaires. Le premier nom comme remplaçant pourrait être celui de Leonardo Semplici, l'entraîneur toscan ayant déjà collaboré avec Corvino avec la Primavera de la Fiorentina.

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Il Messaggero