La Roma face à ses défis: Entre Udinese et Milan, le parcours de De Rossi

Roma, De Rossi: «Veniamo da partite intense, valutero chi fa riposare. Critiche? Non mi toccano»
Demain, la Roma jouera contre l'Udinese pour la trente-deuxième journée de Série A. Un match important pour les Giallorossi qui doivent gérer au mieux la fatigue en vue des...

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Demain, la Roma jouera contre l'Udinese pour la trente-deuxième journée de Série A. Un match important pour les Giallorossi qui doivent gérer au mieux la fatigue en vue des prochains engagements. Dybala et ses coéquipiers sont entrés en jeu le week-end contre la Lazio puis jeudi contre le Milan en Europa League. Jeudi 18, il y a le match retour contre les Rossoneri, puis de nouveau le championnat pour De Rossi qui essaie de gérer au mieux la situation depuis le centre sportif de Monza, où le club s'entraîne.

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Sur l'entraînement à Monza «Nous avons économisé un voyage, nous avons été un peu plus ensemble et nous avons profité de ce centre sportif que Monza nous a mis à disposition. Nous remercions Galliani, le club, Palladino et nous les félicitons pour la beauté de leur centre sportif».

Comment gérer ces moments d'euphorie et d'enthousiasme ? «Comme le font les joueurs des équipes que nous allons affronter. Si nous regardons par exemple le Real Madrid, ils gagnent en Champions, puis en Liga et ensuite à nouveau en Champions League. Au-delà de la valeur des joueurs et des entraîneurs, c'est la mentalité qui fait la différence. Il faut réussir à rester attaché à l'événement qui se jouera et il n'y a rien de plus beau que de continuer à travailler pour essayer de gagner».

Que a en tête Daniele De Rossi concernant la formation ? «D'abord, j'ai en tête de voir comment vont les joueurs, de les préserver de quelques bobos qui par le passé nous ont amenés à devoir nous en passer. Nous venons de deux matchs intenses du point de vue physique et mental. Nous avons utilisé beaucoup d'énergies et certains ont quelques problèmes dont je devrai tenir compte. La différence n'est pas faite par les joueurs individuels, mais par l'attitude de toute l'équipe. Nous avons en tête la victoire dans le derby et à Milan, mais nous avons aussi le match de Lecce. Nous ne devons pas répéter ce match là».

Abraham peut-il être titulaire ? «Nous verrons, il va de mieux en mieux et s'entraîne avec constance. Physiquement, je le vois bien dans l'utilisation de la force et de l'explosivité. Dans la gestion des charges d'entraînement, il perd parfois en lucidité, mais nous devons l'accompagner pour gagner des minutes et de la condition psycho-athlétique sur le terrain pour l'avoir à 100%».

Après San Siro, vous avez parlé du staff. À quel point avez-vous étudié l'Udinese et quelle équipe attendez-vous ? «Nous avons deux membres du staff qui ont travaillé dix ans à Udine. Outre les vidéos, nous nous sommes aussi appuyés sur leurs connaissances personnelles. Cependant, les connaître ne suffit pas pour avoir cette certitude de gagner. Nous les connaissons bien, nous connaissons leurs caractéristiques et aussi l'environnement que nous trouverons. Nous savons qu'ils donneront une grande importance à ce match car ils sont en lutte pour la relégation. Nous sommes attentifs et nous respectons nos adversaires».

Comment gérez-vous ce moment de votre gestion ? «Je suis dans le monde du football depuis longtemps, surtout ici à Rome, et ces choses ne me touchent plus tant que ça. Quand j'ai traversé des moments difficiles, j'ai travaillé en sachant que généralement dans le football ces moments difficiles durent peu, mais je savais aussi qu'ils peuvent durer peu ceux beaux si on ne travaille pas bien. J'ai toujours en tête l'après Lecce, pour comprendre l'accueil qui me sera réservé si nous devions mal faire à partir de maintenant. Puis, honnêtement, au-delà des critiques à mon égard, ce qui m'intéresse ce sont les résultats de l'équipe et le bonheur des joueurs et de la société. Je souris quand quelqu'un me dit quelque chose de positif, mais ce sourire dure trois secondes».

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Il Messaggero